Les artistes offrent la reproduction de leurs oeuvres au profit des associations et sous la forme de Mask of Art, pour une production sans limite de quantité, limitée à la durée de la pandémie.
Découvrez en vidéo les rencontres entre Mathieu Allouch et les artistes qui nous ont fait confiance dans l'aventure.
Ainsi, vous pourrez parler d'eux à vos proches lorsque vous porterez vos masques !
1 - Collection Restos du Coeur (cliquez ici pour découvrir les artistes)
2 - Collection Le Refuge (cliquez ici pour découvrir les artistes)
3 - Collection Sidaction (cliquez ici pour découvrir les artistes)
4 - Collection Mask OF ART (cliquez ici pour découvrir les artistes)
5 - Collection Marion la main tendue (cliquez ici pour découvrir les artistes)
6 - Collection Association Petits Princes (cliquez ici pour découvrir les artistes)
Olivier Mosset
Ce cercle d’Olivier Mosset est une icône de l’art, historique. Le mouvement BMTP marque le refus de communiquer le moindre message s’abstenant de toute émotion. Ce cercle fait partie des œuvres les plus fréquemment commentées pendant les années 1960.
© Olivier Mosset – Courtesy Filles du Calvaire
Bernard Frize
Bernard Frize est un peintre abstrait français incontournable de la scène artistique internationale. Il s’interroge sur comment inventer la peinture à un moment ou tout le monde annonce la mort de la peinture à la fin des années 70.
Le Centre Pompidou saluait en 2019 ses plus de 40 années de créations avec l’exposition « Sans repentir ».
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YES
YeS aka Yannick Saillet aimerait emporter chaque petit bout de rue avec lui, mais cela ne se fait pas. Il est toujours à chercher le bon endroit, le bon fond où signer, et quand il n’existe pas il le crée en arrachant des bouts d’affiches.
Interview de YES : cliquez ici
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© YeS – Courtesy Yannick Saillet

Agnes Thurnauer
Ce nuage de noms nous raconte une « histoire » de l’art ! Découvrez pourquoi et comment Agnès souligne avec malice le trust des hommes sur le monde de l’art. Son approche radicale, à la fois provocatrice et ludique, interroge la question du genre dans l'art.
Interview d'Agnes Thurnauer : cliquez ici
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© Agnès Thurnauer – Courtesy Galerie Michel Rein & Gandy Gallery

Jordane Saget
Avec ses lignes, il signale les dangers, les défauts de la chaussée. Danger pour la COVID-19 avec ses lignes qui occupent tout le masque. Jordane a dessiné ces cercles sur lesquels s’envolent les paroles du single A Côté de Toi de l’édition 2020 des @enfoirés !
Interview de Jordane Saget : cliquez ici
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© Jordane Saget – Courtesy de l’artiste

ORLAN
ORLAN est TOTALE ! Plasticienne française à la réputation internationale, aucun art ne lui résiste. Le corps, le sien, est l’un de ses médiums de prédilection. Les phages d'ORLAN, œuvre du masque, est installée à l'Institut Pasteur.
Interview d' ORLAN : cliquez ici
© ORLAN Courtesy Galerie Ceysson & Bénétière
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Garance Matton
Diplômée des Beaux-Arts en 2017, Garance trouve ludique de voir sa peinture sur le support du masque. Le jeu est très présent dans ces travaux. Ils se construisent comme des collages, empruntent des références à l’histoire de l’art et les mélangent avec des objets du quotidien. Sa dernière exposition solo s’appelait « Parade ».
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© Garance Matton – Détail du tableau "Le Jardin aux sentiers qui bifurquent" 2020

Alice Grenier Nebout
Ce masque est un condensé de son univers ; ce bleu, cette nature omniprésente … Elle dit à propos de ses toiles « quand elles sont terminées, elles ne m’appartiennent plus, elles appartiennent à celles et ceux qui les regardent ».
Interview d'Alice Grenier Nebout : cliquez ici
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© Alice Grenier Nebout – Courtesy Galerie Exit

Emmanuel Bornstein
« J’ai trouvé un masque » l’œuvre choisie est issu de chroniques de l’isolement avec l’artiste russe Vladimir Potapov. Diplômé des Beaux-Arts de Paris Emmanuel a représenté la France à la dernière biennale internationale d’art contemporain de Curitiba.
Vidéo : cliquez ici
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© Emmanuel Bornstein – Courtesy Galerie Crone (Berlin I Vienne)

Caroline Ritzler
Fondatrice de sa 1 ère marque éponyme.
Elle créer des vêtements avec un ADN qui est la combinaison.
Chaque modèle est un personnage.
Passionnée de musique elle chante Danse et se met à peindre de manière totalement instinctive.
De grands traits des ronds une sorte de carte mère / un plan de metro/ un labyrinthe...
Ces traits géométriques l‘apaise.
Ces toiles deviennent l’identité visuelle de sa nouvelle marque
Madame C • paris
Ou les creations des vêtements s’articule autour d’un dialogue entre les arts.
Interview de Caroline Ritzler : cliquez ici
Site : cliquez ici
© Caroline Ritzler - Courtesy de l’artiste

Aurèle LostDog
LostDog mélange les lettres du mot SIDA, AIDS en anglais. Aurèle explique « Le SIDA avait la réputation d’être une maladie de toxicos et d’homosexuels, et « non », c’est aussi une maladie d’hétéro, et il en est la preuve. » Catherine Deneuve est la première (1991-1993) à dire à Aurèle « utilise mon image ». Elle pose pour lui devant SI SI DA DA, un motif en hommage à l’américain Robert Indiana et au collectif canadien General Idea.
VIDEO : https://youtu.be/qnYyiYDB8ns
INSTA : @ aurelelostdog
© Aurèle LostDog – Courtesy de l’artiste et de Gallery Athenessa Los Angeles
Bruno Gadenne
Bruno est un explorateur. Nous sommes là dans une forêt de Bornéo. Il a pris une photo. Il l’a retravaillé et il a peint comme il dit : « à l’ancienne ». Créant cette symétrie imparfaite, improbable il offre au centre, une perspective pénétrante, envoutante.
Vidéo : https://youtu.be/9qbdG9AKZls
WEB : www.brunogadenne.com
© Bruno Gadenne – Courtesy de l’artiste et de Galerie du Jour Agnès b. – Galerie Provost Hacker

Winnie Denker
Winnie Denker, née en 1940, est une photographe d'origine danoise vivant à Paris. Une des rares professionnels qui travaillent en format 8x10. Elle s'intéresse principalement à l'architecture et aux paysages urbains. Depuis 1992, une exposition permanente lui est consacrée au Musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg

Stéphane Danger
Avec « L’abstrait du quotidien », Stéphane Danger capte des symétries, des structures... le plus souvent graphiques. Un jeu de lumière bleue, en reflet sur une ligne de liquide non défini, interrogera celui qui regardera la photographie. C’est un détail anodin, créateur d’émotions, de sensation.
VIDEO : https://youtu.be/rTVaXpUFeOY
INSTA : @stephanedanger1
© Stéphane Danger - Courtesy de l’artiste

Sacrée Frangine
Célia et Aline, sont deux amies d’enfance. « Sacrée Frangine n’est en fait que le prolongement de leur amitié sans faille. Elles célèbrent d’ailleurs en illustration l’entraide, le vivre ensemble, la solidarité… » lu dans Tafmag nous a convaincu de leur demander si elles voulaient bien faire un Mask of Art.
WEB : https://sacreefrangine.com
© Sacrée Frangine – Courtesy des artistes

Lisa Roze
Lisa propose un photomontage : ces deux pigeons parisiens sont collés sur fond de ciel californien. Une entaille dans ce ciel, la trace d’un avion ? En une image, Lisa symboliserait elle la promesse de trajectoires retrouvées ? L’univers de Lisa est poétique et ultra créatif, des pépites de bonheur.
WEB : www.lisaroze.com
© Lisa Roze – Courtesy de l’artiste
Arlette Kotchounian
Elle connaît « La Musique », l’hymne de la saison 1 de la Star Academy, puisque l’amoureuse de Ray Charles en est l’auteure. Mais Arlette est aussi et surtout photographe. Elle nous offre ce corps asexué par la magie d’un simple coup de pinceau de couleur or. Notre corps c’est ce que nous avons de plus précieux.
Video : Prochainement
Insta : @arlette_kotchounian
© Arlette Kotchounian – Courtesy de l’artiste

Odonchimeg Davaadorj
« La fragilité et la force » : Patrick Scemama titre ainsi son papier sur l’artiste. C’est précisément ce que l’on ressent en regardant cette encre sur papier perforé : un autoportrait ! Artiste complète, Ondonchimeg travaille aussi bien la sculpture, la peinture, le dessin, les performances, les vidéos, les vêtements …
Vidéo : https://youtu.be/QklfbPMkkJA
Web : www.backslashgallery.com
© Odonchimeg Davaadorj - Courtesy de l’artiste et de la Galerie BACKSLASH

Luminium
Instagram est une vitrine pour beaucoup d’artistes. LUMINIUM c’est LE support de prédilection de ses performances artistiques : VERTICALITYWORLD. « Prenez juste le temps … » prévient-il ! Sur les trois dernières années, se déroulent en continu l'ensemble de son savoir-faire. Créatif et récréatif, LUMINIUM nous offre ce Mask of Heart.
INSTA : @verticalityworld
© LUMINIUM - Courtesy de l’artiste

Silvère Jarrosson
Silvère se revendique de l’abstraction lyrique, mouvement largement associé à George Mathieu, pendant Français à l’Expressionisme Abstrait Américain qu’illustre Jackson Pollock. Petit rat à l’Opéra de Paris, une « vilaine » blessure l’oblige à renoncer à ses rêves, à se réinventer. Aujourd’hui, Silvère danse sa peinture …
VIDEO : https://youtu.be/M9PEg8oxYxA
WEB : https://www.silverejarrosson.com
© Silvère Jarronsson – Courtesy de l’artiste

L’eau et le feu traduisent la violence du rejet, quel qu’il soit. Dans cette exploration solitaire de la nature tout est « sublimé ». Il y a aussi l’ambiguïté d’une symétrie improbable, celle d’un miroir au centre duquel chacun peut trouver son chemin.
Vidéo : https://youtu.be/9qbdG9AKZls
WEB : www.brunogadenne.com
© Bruno Gadenne – Courtesy Galerie du Jour Agnès b. – Galerie Provost Hacker
Brian Finke
Un toit marque le temps présent, le refuge et l’horizon incliné marque les perspectives infinies. Ce photographe documentaire américain reste en immersion plusieurs mois dans des univers, pour aller au-delà des apparences, des conventions, des uniformes.
Video https://youtu.be/AKfkVTtqaHs
WEB www.brianfinke.com www.clampart.com
© Brian Finke – Courtesy de l’artiste et de Clampart NYC

Shade
La topographie d'un visage, des lignes de couleurs, comme des liens. Des êtres gardent leurs distances, mais dans une même continuité (parallèle). Les lignes ondulent d’autres s'entrecroisent avec celle en couleur, symboles de multiplicité.
Vidéo : Prochainement
Web https://steven-baconnais.myportfolio.com/production
© Shade – Courtesy Steven Baconnais

Felix Hemme
Les deux œuvres de Felix appartiennent à la série Tessellés. Après des études entre Toulouse et Toulon, obtient son diplôme de Designer Produit en 2000. Ce corrézien né en 1976 a proposé ces motifs absolument sublimes.
© Félix Hemme - Courtesy de l’artiste
Aurèle LostDog
Aurèle délivre pour OF ART un manifeste pour un monde meilleur, un plaidoyer contre l’injustice. Son LostDog est une sorte de vaste autoportrait. Engagé de toutes les causes : écologie, lutte contre les violences faites aux femmes, Sida, homophobie, racisme … Art Lover est une affirmation, une fierté, celle d’afficher un statut.
Vidéo : https://youtu.be/qnYyiYDB8ns
Insta : @aurelelostdog
© Aurèle LostDog – Courtesy de l’artiste et de Gallery Athenessa Los Angeles

Serge Poliakoff
Avant de devenir l’un des peintres le plus connu de la nouvelle École de Paris, Serge Poliakoff jouait de la guitare dans les cabarets russes à Constantinople (actuelle Istanbul), Sofia, Belgrade, Vienne, Berlin avant de s’installer à Paris : incroyablement romanesque ! Le titre de sa rétrospective au musée d’Art Moderne de Paris en 2013 « Le rêve des formes » résume bien la magie pénétrante de ses compositions.
Vidéo : https://youtu.be/wJSMMhz8PKU
WEB www.galeriepiximarievictoirepoliakoff.com
© Serge Poliakoff – Courtesy Galerie Pixi Marie-Victoire Poliakoff
Terencio González
Les racines argentines sont ancrées dans l’ADN et l’œuvre de Terencio González. C’est le pays d’origine de son père. A Buenos Aires, il collecte des fonds d’affiches en papier, bon marché, sur lesquels on peut trouver tantôt des messages politiques ou des annonces de concerts et de fêtes.
Video https://youtu.be/B4u6286SKfU
WEB http://www.terenciogonzalez.com
© Terencio González – Courtesy de l’artiste et de la Galerie Jérôme Pauchant

Stéphane Danger
Cette photo de concert capte l’émotion et l’énergie du public. Spectateurs mains levées, lumières et jets de paillettes se mêlent et provoquent un résultat graphique et festif. L’ensemble est presque abstrait, irréel. Un choix d’évidence pour la Protection Civile Seine qui sécurise les événements de ce type.
Vidéo : https://youtu.be/rTVaXpUFeOY
Insta : @stephanedanger1
© Stéphane Danger - Courtesy de l’artiste

Mathilde Denize
Forcément, une artiste qui n’en fait qu’à sa tête, on adore. Repérée en 2013 à l’excellent Salon de Montrouge, notre ami Patrick Scemama de la République de l’Art a été son premier collectionneur. L’œuvre de Mathilde raconte une histoire autour de la figure de la représentation de l’homme qui convient parfaitement à la Protection Civile Seine.
Insta @mathildedenize
© Mathilde Denize - Courtesy de l’artiste

Maryam Alakbarli
Maryam, non-verbale à 95%, s’exprime principalement par la peinture. Passionnée jusqu’à l’obsession, elle peint en continu. Elle développe son vocabulaire pictural, sa technique, s’affranchie des références qui construisent habituellement le travail de l’artiste. Pour autant, elle s’approprie, inconsciemment ou non des standards vus dans les musées, tel ce soleil couchant inspiré par Monet ?
Web https://maryam-alakbarli.com
© Maryam Alakbarli - Courtesy de Annabelle et Stéphane de Boysson

Odonchimeg Davaadorj
Une femme enveloppe un oiseau d’un geste protecteur rassurant ! Cette encre sur papier inspire toute l’affection de celles et ceux qui maraudent pour la Protection Civile Seine pour venir en aide aux SDF. Artiste complète, Ondonchimeg travaille aussi bien la sculpture, la peinture, le dessin, les performances, les vidéos, les vêtements …
Vidéo : https://youtu.be/QklfbPMkkJA
© Odonchimeg Davaadorj Courtesy de la Galerie BACKSLASH
Luminium
Instagram est une vitrine pour beaucoup d’artistes. LUMINIUM c’est LE support de prédilection de ses performances artistiques : VERTICALITYWORLD. « Prenez juste le temps … » prévient-il ! Sur les trois dernières années, se déroulent en continu l'ensemble de son savoir-faire. Créatif et récréatif, cherchez sur son Insta l’image qu’il nous offre.
INSTA : @verticalityworld
© LUMINIUM - Courtesy de l’artiste

Carla Gaida
Carla est peintre et illustratrice. Elle nous écrit sur Instagram pour participer à Mask of Art. On lui répond que les photos likées par OF ART, feraient de très beaux masques. Elle envoie 3 images avec un mot. On en choisi une. Nous, nous voyons des silhouettes, debout, solidaires, proches les unes des autres dans un foisonnement de couleurs.
© Carla Gaida - Courtesy de l’artiste

Arlette Kotchounian
L’amoureuse de Ray Charles, nous offre un peu de sa vie, ce cette intimité qu’elle a partagé en tant photographe avec les géants de la musique française et internationale. Cette image, c’est un peu de sa vie, faite de rencontres, d’émotions, d’artistes, de spectacles. Arlette est aussi auteure de chanson : La Musique l’Hymne de la saison 1 de la Star Academy
Insta @arlette_kotchounian
© Arlette Kotchounian – Courtesy de l’artiste

Reggie Khumalo
En 2017, Reggie traverse l’Afrique en moto : Le Cap - Le Caire. Il vend au profit de l’éducation des enfants des pays traversés ses œuvres. En 2020-2021, Reggie the Nomad poursuit un parcours Européen. Ses œuvres seront vendues au profit de l’organisation World Food Program, programme alimentaire des Nations Unies. Reggie a sollicité l’aide de OF ART lorsqu’il sera en France.
Vidéo https://youtu.be/JOURqnps91g
© Reggie Khumalo – Courtesy de l’artiste


Dans ses œuvres comme dans ses installations monumentale RERO barre sa police verdana d’un épais trait noir.
En écrivant ses messages en majuscule RERO souligne l’importance du mot, de la notion, qu’il s’agisse pour lui d’interroger les codes de notre société ou d’en dénoncer les dérives.
Mais en le barrant, par cette négation du mot, il insiste en fait sur la notion inverse.
Pour l'association Marion La Mains Tendue, il fallait un échange entre RERO et Nora Fraisse, la créatrice de l’association. Il fallait identifier les notions fortes, les rouages du (cyber) harcèlement.
Vous retrouvez ces mots et ces expressions sur les masques qu’il a créé.
RERO est représenté en France par la galerie Backslash



Les recherches de l’artiste français Rero, né en 1983, se sont construites autour de la négation de l’image, omniprésente dans notre société contemporaine : il barre ses messages d’un épais trait noir. Ceux-ci investissent la ville et d’immenses lieux abandonnés dès 2008. Rero y interroge les codes de la propriété intellectuelle, de l’image ou du langage informatique. Il s’inspire de Jean-Michel Basquiat qui expliquait : « je raye les mots pour qu’on les voit davantage. Le fait qu’ils soient rayés donne envie de les lire ». Négation, autocensure et détournement sont les maîtres-mots de son langage.
À l’invitation de l’association Le MUR, il se fait remarquer en 2009 avec une immense affiche à Paris sur laquelle on peut lire : « J’AURAIS PRÉFÉRÉ UN MUR BLANC PLUTÔT QUE CETTE IMAGE DE MERDE. »
Il bénéficie en 2011 de sa première exposition personnelle en galerie. ERROR 404 (lien manquant), à la galerie Backslash lui permet d’investir un nouvel environnement. L’extérieur a fait place au monde de l’intérieur et les toiles aux multiples matières, les résines ou encore les gaufrages sont venus enrichir son mode d’expression.
À travers une série d’installations étonnantes, l’artiste réinvente l’espace de la galerie et lui confère une intense énergie. Tas de livres abîmés et abandonnés par terre, mur partiellement détruit… Les insolences de l’artiste viennent se confronter à des toiles qui jouent sur le thème de la négation de l’image.
Il ne cessera dès lors d’interroger d’un côté le contexte de l’art, de l’autre les codes de l’image. Son travail s’internationalise de manière beaucoup plus marquée en 2012, notamment aux États-Unis, avec de grandes interventions dans la nature. Rapidement, les mots et expressions barrées de Rero jalonnent les institutions prestigieuses.
Les lettres barrées géantes de DO NOT CROSS THE LINE viennent investir la façade du Centre Pompidou en 2013, suivies par des lieux aussi différents que nombreux comme Le Bon Marché en 2013 ou le MAC / VAL en 2014. Une importante monographie ERREUR DANS LE TITRE est consacrée à son travail aux Editions Gallimard (Alternatives) en 2014. Il prépare une nouvelle monographie "VIA NEGATIVA" qui sortira en fin d'année aux éditions SKIRA.
ESPER
Esper découvre le graffiti fin 1996 et se dirige vers le tag et la lettre. En 2011, avec Raphe, rencontré à l’Ecole Hourdé, ils créent le collectif d’artistes Haut En Couleur. C’est l’une de ses Pin-up urbaines, combinaison de lettrages & personnage qu’il a choisi d’offrir pour les Mask of Art… des petites princesses !
Vidéo
LYSA SARKIS
Lysa Sarkis fait rayonner son HappyArt dans ses toiles pour « faire du bien ». Nourrie de Pop culture et de Comics, elle est sollicitée dans le monde entier et MTV International lui a commandé un prototype de trophée pour un prochain MTV Awards.

MOSKO
Dès 1989, Mosko commence à peindre des animaux de la Savane pour égayer le quartier de la Moskova, dans le 18ème arrondissement de Paris.
Son message est simple : il veut du beau, de la gaieté, de la vie, là où il y a du laid, du sombre, des ruines.
Gérard Laux, alias Mosko, l’un des pionniers du street art français a choisi sa panthère star pour les Petits Princes.

SAX
Henry Blache, alias Sax, est un street artiste basé à Paris et né en Provence en 1995, d’où il tire son inspiration pour les couleurs notamment. A sa technique picturale très instinctive basée sur certains principes de la peinture chinoise de style xieyi, il ajoute des talents de musicien et réalisateur.
Vidéo

GABRIELA PRIETO-ANGEL
Gabriela est une jeune étudiante en classe préparatoire à l’Atelier Hourdé dont l’ambition est de s’exprimer et de s’épanouir par les arts graphiques. Elle puise son inspiration dans ses origines hispaniques qu’elle module avec son grand intérêt pour l’affichiste Alfons Mucha.

HYDRANE
Hydrane Lo (alias H²O) part chercher son inspiration dans ses racines péruviennes, les formes dessinées dans le désert de Nazca et dans l’art primitif sud-américain. Ses géoglyphes véhiculent un message de force solidaire et individuelle visible de tous dans l'espace urbain.
Vidéo
JERÔME MESNAGER
En 1983, celui qui est l’un des tout premiers peintres de rue parisien invente l’Homme en blanc, « un symbole de lumière, de force et de paix ». Cette silhouette blanche Jérôme Mesnager l'a reproduite à travers le monde entier, des murs de Paris à la muraille de Chine et pour les Petits Princes, le père du street art parisien lève les bras de l’Homme en blanc pour former un sourire.
Vidéo

RAPHE
Depuis le lycée, Raphe peint dans les terrains vagues et le grafitti le mène aux arts graphiques, à l’Ecole Hourdé notamment. Il y rencontre Esper et forment ensemble le collectif d’artistes Haut En Couleur. Raphe combine les techniques et les supports pour mélanger les cultures et unifier les artistes autour d’œuvres communes. Les couleurs qu’il laisse sur les murs sont la peinture qui coule dans ses veines.

JULY 1
July 1 a grandi avec la génération Albator, Goldorak et jeux videos des années 80 et cultive l’idée que la pop culture est plus que jamais nécessaire. Ses œuvres mélangent provocation, dénonciation et divertissement. Pour les Petits Princes, c’est à Tetris qu’il fait référence pour illustrer le jeu, cher à son cœur.
Insta

JORDANE SAGET
"Artiste urbain Jordane Saget qui dessine des arabesques à la craie dans Paris exporte aujourd'hui ses œuvres dans le monde entier." Le Point titrait : "Jordane Saget, l'homme qui fait bouger les lignes" en 2017. En 2020, Danger pour la COVID-19 avec ses lignes qui occupent toute la surface du masque !
Interview de Jordane Saget : cliquez ici
Site : cliquez ici
© Jordane Saget – Courtesy de l’artiste
